Métamorphoses est un rendez-vous annuel de rencontres et d'échanges sur la présence de l'art dans les évolutions et les transformations de l'espace public. En résonance avec la programmation estivale d'Un Été Au Havre, Métamorphoses invite des femmes et des hommes artistes, architectes, décideurs, chercheurs, designers... à partager avec le public leur vision de la ville de demain et l'évolution de celle d'aujourd'hui. En s'appuyant sur des analyses ou des présentations de projets réalisés, à venir ou même utopiques, chaque intervenant expose ses réflexions, ses actions, son engagement, dans un format qui ne dépasse pas 30 minutes.
Ancré au Havre, Métamorphoses est un laboratoire de formes urbaines où la ville s'affirme comme un terreau fertile de nouvelles expériences.
Ouvert à tous les publics dans la limite des places disponibles, Métamorphoses est un événement gratuit dont les prises de parole sont à retrouver sur le site internet d'Un Été Au Havre, ainsi que sur les réseaux sociaux.
Nos villes semblent vouées à une inéluctable standardisation, baignant dans un environnement contrôlé, normé et consumériste...> Découvrir plus
Nos villes semblent vouées à une inéluctable standardisation, baignant dans un environnement contrôlé, normé et consumériste. Pourtant, des territoires échappent parfois à l’emprise des pouvoirs, politiques et économiques. Friches, terrains vagues, interstices... De ces matrices immergées dans nos univers minéralisés ont surgit le hip-hop, l’agriculture urbaine, mais aussi une kyrielle de mouvements artistiques et sociaux cultivant le même esprit du Do-it-yourself (Faire soi-même). Rompant avec un certain ordre urbain, le désordre poétique s’épanouit, et représente assurément d’autres manières de voir et d’habiter le monde.
Chercheur-associé au Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche "Sociétés, Sensibilités, Soin" (LIR3S), à l'Université de Dijon-Bourgogne, ses terrains d'études sont l'agriculture urbaine / périurbaine et la transition socio-écologique des territoires, notamment dans les quartiers populaires. Il est également chargé de cours vacataire à l'Institut Agro Dijon et en Master 2 Science de l'éducation à l'Université Paris Cité ainsi que dans plusieurs Master en France.
Le Bureau des guides réunit des artistes-marcheurs autour du sentier de randonnée GR2013, qui traverse 38 communes de la...> Découvrir plus
Le Bureau des guides réunit des artistes-marcheurs autour du sentier de randonnée GR2013, qui traverse 38 communes de la Métropole Aix-Marseille Provence, sur plus de 365 km. À travers divers projets et activités comme la marche en milieu périurbain et l’exploration artistique, développant une connaissance partagée des lieux, les marcheurs explorent l’idée que le récit puisse être un socle possible pour faire communauté et habiter notre territoire.
Après un parcours dans le cinéma documentaire au FIDMarseille ou avec sa société de production Exocorpus et dans le soutien au spectacle vivant dans l'agence régionale Arsud, Noémie Behr rejoint le Bureau des Guides du GR2013 en 2020. Elle y travaille à la rencontre de projets hors les murs, mais aussi hors les cases, avec les politiques publiques à l'œuvre sur le territoire de la métropole marseillaise (culture, transition, paysage, agriculture, action sociale..).
Guillaume Aubry présentera une sélection de projets livrés récemment dans lesquels sont mises en dialogue son expertise et...> Découvrir plus
Guillaume Aubry présentera une sélection de projets livrés récemment dans lesquels sont mises en dialogue son expertise et son expérience d'architecte et de scénographe avec ses recherches artistiques, théoriques et plastiques. Il abordera en particulier notre rapport collectif et intime au paysage.
Guillaume Aubry est né en 1982. Il vit et travaille à Paris et en Normandie. Il est architecte de formation, diplômé de l’Université de Tokyo (Master) et de l’École nationale supérieure d’architecture de Paris - La Villette (DPLG). Co-fondateur de l’agence d’architecture et de scénographie Freaks, il est parallèlement artiste-plasticien et chercheur, diplômé des Beaux-Arts de Paris (post-diplôme La Seine) et docteur en art (programme Radian).
Programme national dédié à l’accompagnement des territoires par le design, Design des Territoires fonctionne selon un...> Découvrir plus
Programme national dédié à l’accompagnement des territoires par le design, Design des Territoires fonctionne selon un principe de réponse à des problématiques spécifiques aux milieux au sein desquels il se déploie, en relation étroite avec les acteurs de terrain. Créé en 2021 par l’Ecole des Arts Décoratifs – PSL en réponse à un sentiment d'abandon des politiques culturelles, le programme se développe sous l’impulsion du ministère de la Culture, à travers six écoles de terrain qui maillent six typologies de milieux, du forestier à l’urbain, de la montagne au littoral.
Emmanuel Tibloux est un ancien élève de l’École normale supérieure, il a auparavant été enseignant-chercheur à l’université de Rennes 2, puis successivement directeur de l’Institut français de Bilbao, de l’École supérieure d’art et design de Valence, de l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne et de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon. Il a également été président de l’Association nationale des écoles supérieures d’art (ANdEA) de 2009 à 2017.
Diplômée de l'École d’affaires publiques de Sciences Po, Ariane Brioist combine approche critique et sensible. Elle a travaillé sur des enjeux de politiques culturelles pour le compte de collectivités, d‘institutions publiques et d’acteurs de l’intérêt général. Depuis 2022, elle pilote et coordonne le déploiement du programme Design des Territoires de l'École des Arts Décoratifs, avec le souci de former les créateurs d'aujourd'hui aux enjeux de demain tout en refondant les principes et outils de l’action publique territoriale.
Si la présence des femmes au sein des métiers de l'architecture et de la ville constitue un sujet sociologique bien abordé et nécessaire...> Découvrir plus
Si la présence des femmes au sein des métiers de l'architecture et de la ville constitue un sujet sociologique bien abordé et nécessaire, qu'en est il de la ville et de l'architecture du point de vue du genre ? Le genre peut-il se réduire aux catégories de personnes qui pratiquent la ville, ou constitue-t-il un prisme pour observer et fabriquer l'urbain d'une manière inédite ? Nous posons depuis trois ans cette question aux intervenants du cycle La ville au prisme du genre à la Cité de l'Architecture et, en cheminant avec les architectes, urbanistes, maîtres d'ouvrages, artistes, acteurs associatifs, nous abordons la façon de mettre en œuvre de manière concrète cette métamorphose urbaine au XXIe siècle.
Antonella Tufano est professeure à l’Université Paris 1-Panthéon Sorbonne, rattachée à l’équipe de recherche ACTE, où elle co-dirige l'axe de recherche Design, Arts, Médias et co-responsable scientifique de la Chaire EFF&T-Expérimenter, Faire, Fabriquer, Transmettre (Ministère de la Culture). Docteur de l’EHESS, avec une thèse sur la construction des paysages, elle a enseigné dans les écoles d’architecture, après avoir été Professeure de Design dans les écoles d'art et design du Ministère de la Culture. Depuis 2022, elle propose, avec Fiona Meadows, un cycle intitulé La ville au prisme des genres à la Cité de l’architecture.
Mini Maousse est un concours de micro-architecture créé il y a 20 ans par la Cité de l'architecture. À chaque édition, une nouvelle...> Découvrir plus
Mini Maousse est un concours de micro-architecture créé il y a 20 ans par la Cité de l'architecture. À chaque édition, une nouvelle génération d'étudiants, d'architectes, de paysagistes, d'artistes et de designers répond à une problématique sociétale. L'objectif est de démontrer qu'une petite architecture peut avoir un impact majeur et transformer les usages urbains. Le concours explore également la possibilité qu'un objet hybride -à la croisée de l'architecture et du mobilier- puisse métamorphoser l'espace public et les pratiques quotidiennes des citadins. Une petite architecture peut en faire un maximum !
Fiona Meadows, architecte DPLG, enseigne à l’École Supérieure Nationale d’Architecture de Paris La Villette depuis 1994. Elle est responsable de programmes à l’Ifa/ Cité de l’architecture et du Patrimoine depuis 1999 autour de deux thématiques : la petite architecture et le laboratoire pour l'Afrique. Fiona Meadows est également commissaire d'exposition (Les Maisons du Bonheur, Kinshasa Chronique, Et Vogue l'Architecture, Quand la ville se prend aux jeux).
Nelson Pernisco établit un dialogue entre l’histoire du Collectif Wonder (2013 à aujourd’hui) et le passé ouvrier des...> Découvrir plus
Nelson Pernisco établit un dialogue entre l’histoire du Collectif Wonder (2013 à aujourd’hui) et le passé ouvrier des usines de piles Wonder (1914-1988). L’objectif est d’explorer comment les acteurs de ces deux récits ont partagé, chacun à leur manière, une expérience collective de travail et de lutte, malgré des finalités et des contextes différents. À travers cette réflexion, l’artiste souhaite montrer comment ces histoires entremêlées ont nourri et façonné sa pratique artistique au cours des dix dernières années.
Né en 1993 à Paris, Nelson Pernisco est diplômé des Arts Décoratifs de Paris en 2017 et co-fondateur du collectif Wonder en 2013. Il crée des installations et sculptures mêlant architecture, organique et industriel, explorant les transformations de la matière. Ses œuvres, oscillant entre réalisme poétique et univers fantasmé, interrogent les vestiges de notre civilisation thermo-industrielle en cultivant des paysages hybrides, à la fois minéraux et vivants.
Retrouvez le programme du 30 janvier 2025 ci-dessous :
Télécharger le programme au format PDFEn 2023, le Bureau des arts plastiques initie dans le cadre du fonds « Perspektive » un concours d’idées d’architecture destiné aux jeunes architectes et urbanistes.... > Découvrir plus
En 2023, le Bureau des arts plastiques initie dans le cadre du fonds « Perspektive » un concours d’idées d’architecture destiné aux jeunes architectes et urbanistes vivant en Allemagne ou en France. Pour sa première édition intitulée GROWING VILLAGES – The future is not metropolitan, les candidats étaient invités à imaginer le village d’aujourd’hui, voire du futur. Comment penser le village de demain en intégrant les questions environnementales, culturelles, économiques ou encore de mobilités sans reproduire les erreurs de construction des grandes villes ? Lauréate du concourt, Cécile Gaudard a proposé une réappropriation d’un paysage montagneux modifié par l’ère anthropocène, en adaptant une station de ski en lieu de production de fromage.
Curatrice et autrice, Oriane Durand est la responsable du Bureau des arts plastiques de l’Institut français d’Allemagne. Présent en Allemagne depuis 1996, le Bureau des arts plastiques sensibilise le grand public et soutient les acteurs du monde de l’art (institutionnels et marchands) à la création contemporaine française dans les domaines des arts visuels et de l’architecture. Il accompagne par ailleurs les commissaires d’expositions français grâce au programme Jeunes Commissaires.
Cécile Gaudard est architecte et dessinatrice, récemment diplômée de l’ENSA Paris-Malaquais. En 2023, son projet The Caretakers – An exploration on a traumatized landscapes remporte le premier prix du Concours d’idées GROWING VILLAGES – The future is not metropolitan, décerné par le fonds PERSPEKTIVE 2023 et l’équipe du Bureau des arts plastiques de l’Institut français.
Pourquoi un port si important s’adosse-t-il à une ville de taille relativement moyenne ? D’où vient cette dichotomie ? > Découvrir plus
Pourquoi un port si important s’adosse-t-il à une ville de taille relativement moyenne ? D’où vient cette dichotomie ? L’exploration des dilemmes havrais est l’occasion de réfléchir sur l’agglomération du Havre, ses singularités aussi bien que ses paradoxes, pour tenter d’en définir les caractéristiques, le rôle et peut-être l’esprit
Max Yvetot est le directeur général de l’AURH (Agence d’Urbanisme Le Havre Estuaire de la Seine). Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon en géographie, diplômé de la London School of Economics en urbanisme, il a notamment travaillé pour le Grand Londres, le Grand Paris ainsi qu’à l’agence de conseil en stratégie urbaine Strelka KB, à Moscou.
L’association Les gens des lieux s’appuie sur une démarche expérimentale qui a pour objectif d’ouvrir le champ des possibles... > Découvrir plus
L’association Les gens des lieux s’appuie sur une démarche expérimentale qui a pour objectif d’ouvrir le champ des possibles par le biais d’installations architecturales et paysagères éphémères permettant de vivre autrement les lieux. Ces interventions – toutes havraises - cherchent à mettre en lumière la qualité d’espaces devenus invisibles et proposent aux habitants d’y inventer de nouvelles histoires le temps d’une saison. (Projets GENIUS en partenariat avec la Maison de l’architecture de Normandie – le Forum)
Architecte, membre du C.A. de la Maison de l’architecture de Normandie-le Forum, Dorothée Navarre Vatinel est également présidente de l’association Les gens des lieux. Ce collectif d’architectes, urbanistes et paysagistes havrais exerçant au sein de structures professionnelles diverses, partagent la volonté commune de se retrouver autour d’aventures hors normes et de s’engager pleinement, le temps d’un évènement, pour concevoir et réaliser des installations temporaires in situ.
Marc Vatinel se définit comme « jardiniste », un jardinier qui pratique un art spécifique : celui des jardins. Il a créé l’atelier Pré Carré -à la fois agence de paysagiste et équipe de jardiniers - avec laquelle il conçoit des jardins partout où il n’est pas question de « lutter contre » mais de « faire avec » ; là où L’idée même d’un jardin « fini » est un contresens.
Le film expérimental permet une autre approche de la ville, active et engagée, par l’écriture et la mise en fiction de l’espace autour de soi... > Découvrir plus
Le film expérimental permet une autre approche de la ville, active et engagée, par l’écriture et la mise en fiction de l’espace autour de soi. Marie-Pierre Bonniol présentera son projet de programmation pour Le Volcan autour du film expérimental, de l’art vidéo et de l’enfance, ainsi qu’une sélection de films courts pouvant parler à tous publics sur la ville, ses espaces, son usage et ses représentations par la création.
Marie-Pierre Bonniol est artiste et curatrice. Elle est diplômée en arts plastiques, en esthétique et en sciences de l’art, et travaille internationalement. Elle est commissaire arts visuels associée au Volcan scène nationale du Havre dans le cadre du dispositif CURA du Centre national des arts plastiques. Son projet porte sur le film expérimental, l’art vidéo et l’enfance avec la mise en place de programmes et d’ateliers sur l’ensemble de la saison 24/25.
La ville est un objet vivant qui résiste aux lois de la planification. Elle évolue sans arrêt, portée par le flux, le rythme et les pulsations de ses habitants... > Découvrir plus
La ville est un objet vivant qui résiste aux lois de la planification. Elle évolue sans arrêt, portée par le flux, le rythme et les pulsations de ses habitants. Elle est prise dans un mouvement perpétuel. Mais vivre en ville, est-ce vraiment épanouissant ? Voilà la question qui se pose à l’heure où la rareté foncière invite à ré-interroger ce qui rend la ville désirable. Tester, expérimenter : c’est sans doute la manière dont on pense que se fabrique la ville chez Logeo Seine. Avec un outil qui rend possible cette démarche : le 139, lieu du penser/faire pour expérimenter de nouvelles formes d’habitat et d’habiter qui préfigurent la ville de demain.
Après avoir fait ses armes à la Bellevilloise (Paris), Maxence Gourdault-Montagne a monté une société de conseil - Les Apaches, et a conjointement rejoint Logeo Seine, entreprise sociale pour l’habitat du mouvement Action Logement, acteur de référence sur l’Axe Seine. Il travaille au sein de la Direction Stratégie Offre de Logeo Seine sur la conception et le montage de nouveaux projets immobiliers urbains qui participent à améliorer l’expérience d’habiter.
Et si on vivait dans un monde moins consumériste ? Yes We Camp réunit les énergies volontaires pour ouvrir des lieux vivants, inventifs et solidaires... > Découvrir plus
Et si on vivait dans un monde moins consumériste ? Yes We Camp réunit les énergies volontaires pour ouvrir des lieux vivants, inventifs et solidaires. Cofondateur et directeur de ce collectif associatif, Nicolas Détrie nous présentera les engagements, la méthode et les projets les plus emblématiques de Yes We Camp, en ouvrant sur les intentions renouvelées après leurs 10 années d’existence.
Formé à l’urbanisme et à l’économie urbaine, Nicolas Détrie est notamment co-fondateur et directeur général de Yes We Camp, association qui conçoit, met en œuvre et gère des tiers-lieux et projets d’urbanisme transitoire. Depuis 2013, Yes We Camp dans l’ouverture d’une quinzaine de lieux hybrides, sur des sites bâtis ou des terrains de plein air, mêlant pour chaque projet, en lien avec les partenaires locaux, des fonctions sociales, culturelles, artisanales, entrepreneuriales, écologiques, artistiques et citoyennes.
Living Landscape est un projet de programmations mixtes lancé par la Ville de Reykjavik en Islande qui transforme le site d’une ancienne décharge industrielle en un quartier écologique... > Découvrir plus
Living Landscape est un projet de programmations mixtes lancé par la Ville de Reykjavik en Islande qui transforme le site d’une ancienne décharge industrielle en un quartier écologique. Construit autour du paysage islandais, le projet contribue à la dépollution d’un site de littoral. Community House, nouveau cœur d’un quartier de pêcheurs en mutation de la ville côtière de Knokke-Heist à proximité du port de Zeebrugge en Belgique, revitalise la place du marché avec un programme hybride et vertical accueillant les services municipaux de la ville ainsi que des habitations.
JAKOB+MACFARLANE est une agence d’architecture, d’urbanisme et de design multiculturelle et pluridisciplinaire installée à Paris. Fondée par Dominique Jakob et Brendan MacFarlane en 1998, l’agence s’est orientée depuis ses premiers projets vers l’idée d’un laboratoire expérimental en architecture, centré sur les questions posées par la transition environnementale et la culture du numérique.
Faire du premier - soit d’un environnement conventionnel d’apprentissage - un levier pour mieux comprendre son environnement... > Découvrir plus
Faire du premier - soit d’un environnement conventionnel d’apprentissage - un levier pour mieux comprendre son environnement ; développer des interactions au sein du second et avec l’ensemble du territoire urbain pour concevoir ensemble ; utiliser le jeu dans l’espace public pour mieux le découvrir et le saisir. Autant de pistes d’actions où espace public et apprentissage se rejoignent, que Paul Emilieu tentera d’expliciter via une sélection de projets menés par Emilieu Studio.
Paul Emilieu Marchesseau, designer et architecte d’intérieur, milite pour une pratique intégrative de l’écologie dans l’architecture intérieure. Il est enseignant dans plusieurs école (Camondo, Ensa-PB, ENSCI). En 2019, il fonde Emilieu studio, agence d’architecte d’intérieur/designer basée à Paris. Conscient des enjeux environnementaux, de la transition digitale et éthique auxquels notre société fait face, Emilieu travaille principalement sur des projets ayant pour objectif d’améliorer les conditions et les rapports de l’homme à son espace.
Retrouvez le programme du 1er février 2024 ci-dessous :
Télécharger le programme au format PDFLa multiplication des crises liée à la dégradation accélérée de l’habitabilité terrestre, fait des villes... > Découvrir plus
La multiplication des crises liée à la dégradation accélérée de l’habitabilité terrestre, fait des villes un lieu problématique.
Grégory Chatonsky est un artiste franco-canadien. Il réalise des objets entre matérialité et numérique depuis 1996. Il a exposé au Palais de Tokyo, au Centre Pompidou, au Jeu de Paume, au MOCA Taipei, au Museum of Moving Image, au Hubei Wuhan Museum. Depuis le milieu des années 90, Grégory Chatonsky travaille sur le Web. Au fil des années, il s’est tourné vers la capacité des machines à produire de façon quasi autonome des résultats qui ressemblent à une production humaine. Ces problématiques sont devenues convergentes grâce à l’imagination artificielle qui utilise les données accumulées sur le Web comme matériau d’apprentissage afin de produire une ressemblance.
Comment imaginer une œuvre qui raconte la provenance du vent ? Comment proposer une relation réciproque... > Découvrir plus
Comment imaginer une œuvre qui raconte la provenance du vent ? Comment proposer une relation réciproque entre une œuvre et un quartier en plein développement ?
Isabelle Daëron est une artiste-designer qui utilise les ressources naturelles pour concevoir des objets connectés à leur environnement. Elle utilise l’eau, le vent et la lumière pour créer des formes qui mettent en valeur les ressources disponibles sur le territoire. À travers ses installations et ses projets dans l’espace urbain, elle questionne l’importance des enjeux environnementaux contemporains.
Qui est né en premier ? Le port ou la ville ? L’un peut-il être sans l’autre ? Lequel des deux nourrit l’autre ?... > Découvrir plus
Qui est né en premier ? Le port ou la ville ? L’un peut-il être sans l’autre ? Lequel des deux nourrit l’autre ?
Jean-Denis Salesse, architecte DPLG diplômé de Paris La Villette, est fondateur de la société Ax’6 Architecture. Il a mis en œuvre des projets très divers, de la réalisation de PLU à celle de terminaux à conteneurs, ou bien des aménagements de places urbaines et de bâtiments publics. Responsable des relations entre Villes et Port, il collabore à la réalisation de multiples projets, tels que « Réinventer la Seine et ses Canaux », « Réinventer Le Havre », l’aménagement du Quai de Southampton, la création du Port Center ou bien encore « Un Été Au Havre » lancé lors du 500e anniversaire de la cité portuaire havraise.
Lancée en 2015, la charte « 1 immeuble, 1 œuvre » rassemble sous l’égide du ministère de la Culture plus... > Découvrir plus
Lancée en 2015, la charte « 1 immeuble, 1 œuvre » rassemble sous l’égide du ministère de la Culture plus de 70 acteurs de l’immobilier qui s’engagent à commander une œuvre à un artiste pour tout immeuble construit ou réhabilité.
Fondateur et Président du Conseil de surveillance du Groupe immobilier Emerige, un des acteurs majeurs du Grand Paris. Laurent Dumas est un collectionneur passionné et un mécène engagé dans la défense de la scène artistique française. Il crée en 2014 la « Bourse Révélations Emerige » véritable tremplin pour la jeune création artistique française. Il est également à l’initiative du programme « 1 Immeuble, 1 Œuvre » sous l’égide du ministère de la Culture, un des programmes les plus ambitieux de commande artistique en France. Il est Président du Fonds de dotation Emerige et Président du Conseil d’administration du Palais de Tokyo.
Interroger le temps et les espaces des œuvres en espace public. Comment sont choisies, produites et comment... > Découvrir plus
Interroger le temps et les espaces des œuvres en espace public. Comment sont choisies, produites et comment vivent les œuvres d’art dans l’espace public ?
Professeure et chercheuse, ses recherches se concentrent sur l’art dans l’espace public, l’organisation et les missions des musées et le développement durable dans le champ culturel. Lucie Marinier a été directrice des affaires culturelles de la Ville de Créteil. Pour la Ville de Paris, elle a dirigé la réforme des enseignements artistiques et des pratiques amateurs, puis le bureau du spectacle vivant. Elle a également été conseillère pour la culture au cabinet du maire de Paris, Bertrand Delanoë, secrétaire générale du Musée d’art moderne et co-directrice générale du Carreau du Temple.
Comment l’art permet de fédérer une communauté d’habitants et de communes sur des kilomètres de chemins forestiers... > Découvrir plus
Comment l’art permet de fédérer une communauté d’habitants et de communes sur des kilomètres de chemins forestiers.
Depuis 2008, Pascal Yonet dirige l’association Vent des Forêts dans le département de la Meuse, un centre d’art contemporain d’intérêt national dédié à la recherche, la production et la diffusion artistique en territoire agricole et forestier. Philosophe de formation, il a été de 2001 à 2008 directeur-adjoint du Centre national de l’édition et de l’art imprimé (Cneai - Chatou).
Au cours de l’été 2022, Peter Gorschlüter crée le festival Folkwang and the City, dans l’idée d’étendre le... > Découvrir plus
Au cours de l’été 2022, Peter Gorschlüter crée le festival Folkwang and the City, dans l’idée d’étendre le musée à travers la ville d’Essen aux différentes communautés qui la composent.
Historien de l’art et curateur. Après avoir occupé le poste de directeur adjoint du Musée d’Art Moderne de Francfort durant huit ans, il dirige depuis 2018 le Musée Folkwang d’Essen. En 2021, il reçoit une chaire honoraire « L’art et le public », à l’Université des Arts de Folkwang.
Retrouvez le programme du 3 février 2023 ci-dessous :
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